Illustration poesie Saltimbanques
Le poème "Les saltimbanques" de Guillaume Apollinaire est un texte célèbre de la littérature française. Dans ce poème, l'auteur met en scène des artistes de cirque, des acrobates et des clowns qui évoluent dans un univers onirique et mélancolique.
Contexte
"Les saltimbanques" est extrait du recueil "Alcools" publié par Apollinaire en 1913. Ce recueil regroupe des poèmes écrits entre 1898 et 1913, qui ont pour thèmes la modernité, l'amour, la guerre et l'art. "Les saltimbanques" est l'un des poèmes les plus célèbres de ce recueil, et il est souvent étudié dans les classes de français.
Thème
Le thème central du poème est la condition des artistes de cirque, qui sont souvent considérés comme des marginaux et des exclus de la société. Apollinaire décrit leur vie précaire et nomade, leur joie de vivre et leur amour de la liberté, mais aussi leur solitude et leur tristesse. Le poème est donc une méditation sur la condition humaine, et sur la capacité de l'art à donner du sens à la vie.
Structure
"Les saltimbanques" est composé de trois strophes de quatre vers chacune. Les vers sont de longueur variable, et le poème est écrit en vers libres, c'est-à-dire sans rimes ni mètre régulier. Cette structure souple et aérée donne au poème un caractère léger et fluide, qui rappelle l'agilité des acrobates.
Analyse
Dans la première strophe, Apollinaire décrit les saltimbanques en train de monter leur chapiteau. Il évoque leur énergie et leur détermination, mais aussi leur fragilité et leur précarité. Les saltimbanques sont des "oiseaux de passage" qui ne possèdent rien d'autre que leur art.
La deuxième strophe met en scène les acrobaties des artistes. Apollinaire décrit leur grâce et leur agilité, mais aussi leur risque et leur danger. Les saltimbanques sont des "funambules" qui jouent avec la mort, mais qui savent aussi donner du bonheur et de l'émerveillement à leur public.
La troisième strophe est plus sombre et plus mélancolique. Apollinaire évoque la fin du spectacle, et la tristesse des saltimbanques qui doivent remballer leur matériel et quitter la ville. Il compare leur vie nomade à celle des gitans, et leur solitude à celle des poètes. Cette dernière strophe est donc une méditation sur la condition humaine, et sur la capacité de l'art à donner du sens à la vie.
Illustration
L'illustration du poème "Les saltimbanques" peut prendre plusieurs formes. On peut par exemple dessiner des acrobates en train de monter leur chapiteau, en train de faire des acrobaties, ou en train de remballer leur matériel. On peut aussi représenter leur univers onirique et mélancolique, avec des images de clowns tristes ou de funambules qui marchent sur un fil tendu entre les nuages.
Conclusion
En conclusion, "Les saltimbanques" de Guillaume Apollinaire est un poème célèbre qui évoque la condition des artistes de cirque, et qui médite sur la condition humaine. Ce poème est souvent étudié dans les classes de français, et il peut être illustré de différentes manières.
Les saltimbanques, poème de Guillaume Apollinaire - poetica.fr
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www.pinterest.fr/pin/330099...[PDF] Les saltimbanques - Franciaoktatas.eu
www.franciaoktatas.eu/wp-co...Ma grand-mère m'a raconté l'histoire des saltimbanques qui voyageaient entre les villages, voyageant à travers les terres avec leurs charrettes. Des jongleurs, des acrobates et des magiciens s'arrêtaient sur le bord de la route pour divertir les gens, parfois avec des histoires poétiques.
Parfois, les saltimbanques improvisaient, créant des histoires tout en jonglant et en montrant des tours de magie. Les poèmes qu'ils disaient étaient simples et muets, remplis de joie et de mélancolie. Les chants des saltimbanques me rappelle le rythme de la vie et de la nature, dans toute sa beauté et sa tristesse.
Les mots doux des saltimbanques peuvent aller dans le cœur des gens et les émouvoir. Le son des mots poétiques résonne encore dans mes oreilles quand je ferme les yeux. La vie est un merveilleux voyage, et les saltimbanques me rappellent de ne jamais oublier de le vivre pleinement.
L'été dernier, je me suis mis à apprendre le jonglage et à écrire des poèmes. Maintenant, je peux écrire et jongler en même temps, et je garde l'histoire et le rythme des saltimbanques dans mes mains et mon cœur. Chaque fois que je jongle et que je prononce des mots poétiques, je me sens plus proche de ceux qui vivaient autrefois le même voyage.